Maxime Morin

Ancien élève de l’ENS de Lyon, Maxime Morin est actuellement doctorant à l’université de Lille et à l’université de Gand. Sa thèse porte sur la critique de la technique dans l’œuvre polémique de Georges Bernanos. Il est également l’auteur d’ouvrages illustrés, en collaboration avec Marguerite Hennebelle (Scènes de la vie postmoderne, Équateurs, 2021 et Dictionnaire de la vie postmoderne, Équateurs, 2023), Lorrain Oiseau (Anthropocène Muséum, Exemplaire, 2023) et tienstiens (Situations, Bandes Détournées, 2023).

Nora Bouazzouni

Journaliste indépendante, Nora Bouazzouni travaille sur l’alimentation, le genre et les séries. Elle a publié trois essais, Mangez les riches (2023), Steaksisme (2021) et Faiminisme (2017) aux éditions Nouriturfu.

© portrait : droits réservés

Carol J. Adams

Carol J. Adams, née en 1951, est une militante féministe et antispéciste américaine. Chercheuse indépendante, elle est l’autrice de plusieurs essais, dont La politique sexuelle de la viande publié en 1990 et régulièrement réédité et traduit en plusieurs langues.

© portrait : Hillary Cohen DeParde

Armelle Mabon

Chercheuse, Armelle Mabon a enseigné à l’université Bretagne-Sud. Membre du laboratoire TEMOS, elle fait aussi partie du Collectif Secret Défense. Elle mène depuis une dizaine d’années un travail de recherche sur le massacre de Thiaroye. Elle est l’autrice de Prisonniers de guerre indigènes (La découverte, 2010). La bande dessinée Morts par la France. Thiaroye 1944 (Les Arènes, 2018) dont elle a été la conseillère scientifique s’inspire largement de son combat. Elle vit et travaille à Lorient.

© portrait : Yves Monteil

Michael Bishop

Michael Bishop (1945-2023) est un auteur de science-fiction américain. Enseignant, il décide de se consacrer pleinement à l’écriture dans les années 1970. Il a publié 13 romans, mais également des nouvelles, des scénarios. S’il a été récompensé par de nombreux prix au cours de sa carrière (4 prix Locus, deux Nebula dont celui de la meilleure nouvelle pour Retour à la vie…), il n’a été que peu traduit en France.

Rémi Larue

Rémi Larue est docteur en Etudes politiques de l’école des hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris, après avoir soutenu une thèse sur le rapport complexe qu’entretenait Albert Camus à la question de la violence, en particulier sur un plan philosophique et politique. Aujourd’hui, il est travailleur social et chercheur indépendant. 

Alexis Lager

Agrégé de Lettres Modernes, Alexis Lager est enseignant dans le secondaire. Ses recherches portent principalement sur les questions éthiques et esthétiques dans l’œuvre de l’écrivain et sur les relations de Camus avec les poètes, penseurs et romanciers du XXe siècle. En 2022, Il a dirigé, avec Danièle Leclair, le volume Camus et la poésie paru aux Presses Universitaire de Rennes.  

Aline Nippert

Aline Nippert est journaliste scientifique. Spécialisée sur les enjeux de décarbonation et les stratégies de procrastination du monde de l’industrie, elle suit les évolutions du secteur de l’énergie pour la presse professionnelle, la presse de vulgarisation scientifique et la presse grand public. Son enquête a été cofinancée par la bourse d’investigation européenne dédiée aux enjeux environnementaux du JournalismFund. Elle vit et travaille en Seine-Saint-Denis.

Gaëlle Pairel

Spécialiste du matrimoine littéraire en Bretagne de 1801 à nos jours, chercheuse, auteure d’un mémoire universitaire consacré à cet héritage culturel, éditrice et productrice, Gaëlle Pairel contribue à faire entendre la voix des autrices, à diffuser leurs oeuvres singulières et universelles. Elle a contribué à l’anthologie Femmes de lettres en Bretagne. Matrimoine littéraire et itinéraires de lecture (Goater) et codirige la collection « Les UniversELLES » dédiée à la réédition des textes
incontournables de ce corpus littéraire.

Photo © Pascal Perennec

July Robert

July Robert est autrice, traductrice et chroniqueuse littéraire. Elle est actuellement chargée d’études et d’analyses pour le mouvement d’éducation populaire Présence et Action Culturelles et assume le rôle de présidente de la Revue Nouvelle. Elle contribue régulièrement aux pages de diverses publications belges telles qu’axelle ou encore Agir par la culture. En 2022, elle a traduit l’ouvrage de Sara Farris Au nom des femmes. « Fémonationalisme », les instrumentalisations racistes du féminisme dans la collection dirigée par Christine Delphy, « Nouvelles questions féministes » aux éditions Syllepse. Elle collabore régulièrement avec la maison d’édition L’arbre de Diane ainsi qu’avec de multiples associations d’éducation permanente auxquelles elle prête sa plume.